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Version 1

Johnny The Priest (1960-04-Shaftesbury Theatre-London)

Type de série: Original
Théâtre: Shaftesbury Theatre (Londres - Angleterre)

Durée :
Nombre : 14 représentations
Première Preview : Tuesday 19 April 1960
Première : Tuesday 19 April 1960
Dernière : Inconnu
Mise en scène : Norman Marshall
Chorégraphie : Anthony Bateman
Producteur :
Avec : Cast: Jeremy Brett (Highfield), Stephanie Voss (Mary), Bunny May (Johnny), Hope Jackman, Frances Buckeridge
Commentaires longs: "Johnny the Priest” fut l'une des seules productions de l'époque à traiter des problèmes de la jeunesse moderne, faisant penser à "West Side Story" sur certains parallèles, l'atmosphère de la rue, la tension et la violence, les groupes de garçons et filles. Malgré tout, elle fut jugée comme "un échec sans espoir."
On put lire : "Johnny est un mélange gênant entre le réalisme, dans la veine de West Side Story, et le mélodrame du genre victorien le plus mièvre." "L'adaptation et les paroles sont signées Peter Powell, et bien que certaines paroles soient bonnes en elles-mêmes, on regrette vraiment qu'il ne se soit pas abstenu de faire sermonner si souvent en chanson, le Révérend Richard Highfield. On ne peut s'empêcher de plaindre Jeremy Brett et Stéphanie Voss de devoir chanter ces choses larmoyantes."
"Johnny the Priest" fut la première et la seule comédie musicale écrite par le compositeur Antony Hopkins. Sa musique - proche de celle de Benjamin Britten - est mélodieuse et agréable à écouter. Celle de "The Foggy Foggy Blues" par exemple est tout à fait obsédante et celle de "Vicarage Tea" est composée d'amusante façon. Dans cette pièce d'ailleurs, le seul vrai but de la musique doit être de permettre aux compagnons de Johnny, filles et garçons du quartier des docks, de créer une atmosphère débridée dans un environnement terne et misérable."
Presse : Les critiques ne furent guère enthousiastes à l'égard de la pièce, tout en restant élogieuses sur la prestation de Jeremy Brett. D'après The Daily Mail,
"Jeremy Brett fait preuve d'une présence sur scène irrésistible, qui assure
pour beaucoup l'unité d'action de la pièce." Dans d'autres articles on pouvait
lire : "M. Jeremy Brett joue le pasteur avec sincérité, et chante très bien, des
chansons pas très passionnantes, mais certaines de ses lignes sont
terriblement personnelles, telles que : "Je ne fume pas moi-même, mais je
garde un petit nombre de cigarettes pour mes amis" ou "Les garçons, nous
devons trouver quelque chose d'intéressant à faire pendant ces longues
soirées." - The Times of London.
"La représentation d'hier soir a été très bien interprétée. Jeremy Brett, en
particulier, mérite des compliments pour sa prestation de Highfield. Le danger
de jouer un homme qui ne dira pas un mensonge pour sauver un ami, est
évident; une touche d'attitude moralisatrice et la sympathie du public est
perdue. M. Brett lui donne l'honorable simplicité qui nous convainc, que, pour
lui, une seule façon d'agir est possible. Enfin, et c'est une surprise pour moi, il
chante plutôt bien. " - W.A. Darlington.
"Jeremy Brett doit être félicité pour sa composition du jeune pasteur au coeur
noble et bien de sa personne, qui tente de lutter contre l'ennui des jeunes,
avec des vieux volumes de Punch, du ping-pong et des gants de boxe. On
frémit quand on pense à ce qu'aurait pu donner le rôle dans des mains moins
expertes. De cette façon, il a réussi à garder la sympathie et même à
émouvoir dans son dilemme final et son échec." - Theatre World, Mai 1960.